Des phrase, des expressions et des figures de style…
- J’étais froid comme le marbre (comparaison)
- Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison)
- Votre âme est un paysage choisi… (métaphore)
- L’automne souriait… (personnification)
- France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie)
- Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie)
- Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque)
- Le Roi Soleil (périphrase)
- L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase)
- Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse)
- L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore)
- Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole)
- L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation)
- Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme)
- Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote)
- Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme)
- La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase)
- Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme)
- Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase)
- Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification)
- Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse)
- Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore)
- Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse)
- Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma)
- Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme)
- La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison)
- Tes mains ces lys. (Métaphore)
- Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie)
- Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque)
- Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification)
- Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore)
- Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole)
- Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison)
- Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme)
- N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore)
- La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification)
- Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison)
- Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore)
- Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation)
- Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie)
- Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse)
- Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma)
- La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme)
- Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation)
- Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie)
- […] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore)
- Femme boniche, femme potiche. (paronomase)
- Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (pléonasme)
- Les hommes d’esprit se hâtent lentement. (oxymore)
- Quand la mort met un comble aux maux que j’ai souffert/Le beau soulagement d’être mangé des vers ! (antiphrase)
D'autres actions ou possibilités :
Imprimer la page - Créer le fichier PDF - Consulter les statistiques - Parcourir le plan du site - Suivre les changements de pages OU du siteConsulter la page - Editer cette page - Parcourir l'historique - Joindre un fichier - Se connecter/Déconnecter -