Historique de Seconde6.StyleExo

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09/06/2009 à 09:14 par Stéphane -
Ligne 2 ajoutée:
09/06/2009 à 09:14 par Stéphane -
Lignes 1-2 ajoutées:
!! Des phrase, des expressions et des figures de style…
13/01/2009 à 11:18 par Stéphane -
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Lignes 2-4 modifiées:
# Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) # Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) # L’automne souriait… (personnification) # France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) # Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie) # Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) # Le Roi Soleil (périphrase) # L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase) # Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse) # L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore) # Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole) # L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation) # Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme) # Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote) # Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme) # La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase) # Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme) # Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase) # Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification) # Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse) # Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore) # Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse) # Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma) # Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme) # La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison) # Tes mains ces lys. (Métaphore) # Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie) # Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque) # Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification) # Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore) # Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole) # Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison) # Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme) # N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore) # La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification) # Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison) # Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore) # Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation) # Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie) # Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse) # Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma) # La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme) # Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation) # Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie) # [=[…] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore) # =]

Femme boniche, femme potiche. (paronomase) # Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (pléonasme) # Les hommes d’esprit se hâtent lentement. (oxymore) # Quand la mort met un comble aux maux que j’ai souffert/Le beau soulagement d’être mangé des vers ! (antiphrase) #
en:
# Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison)
# Votre âme est un paysage choisi… (métaphore)
# L’automne souriait… (personnification)
# France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie)
# Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie)
# Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque)
# Le Roi Soleil (périphrase)
# L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase)
# Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse)
# L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore)
# Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole)
# L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation)
# Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme)
# Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote)
# Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme)
# La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase)
# Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme)
# Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase)
# Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification)
# Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse)
# Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore)
# Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse)
# Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma)
# Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme)
# La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison)
# Tes mains ces lys. (Métaphore)
# Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie)
# Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque)
# Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification)
# Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore)
# Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole)
# Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison)
# Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme)
# N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore)
# La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification)
# Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison)
# Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore)
# Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation)
# Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie)
# Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse)
# Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma)
# La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme)
# Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation)
# Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie)
# […] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore)
# Femme boniche, femme potiche. (paronomase)
# Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (pléonasme)
# Les hommes d’esprit se hâtent lentement. (oxymore)
# Quand la mort met un comble aux maux que j’ai souffert/Le beau soulagement d’être mangé des vers ! (antiphrase)
13/01/2009 à 11:17 par Stéphane -
Lignes 1-3 modifiées:
J’étais froid comme le marbre (comparaison) # Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) # Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) # L’automne souriait… (personnification) # France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) # Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie) # Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) # Le Roi Soleil (périphrase) # L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase) # Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse) # L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore) # Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole) # L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation) # Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme) # Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote) # Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme) # La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase) # Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme) # Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase) # Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification) # Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse) # Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore) # Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse) # Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma) # Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme) # La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison) # Tes mains ces lys. (Métaphore) # Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie) # Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque) # Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification) # Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore) # Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole) # Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison) # Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme) # N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore) # La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification) # Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison) # Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore) # Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation) # Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie) # Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse) # Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma) # La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme) # Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation) # Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie) # [=[…] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore) # =]
en:

#
J’étais froid comme le marbre (comparaison)
# Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) # Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) # L’automne souriait… (personnification) # France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) # Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie) # Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) # Le Roi Soleil (périphrase) # L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase) # Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse) # L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore) # Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole) # L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation) # Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme) # Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote) # Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme) # La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase) # Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme) # Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase) # Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification) # Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse) # Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore) # Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse) # Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma) # Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme) # La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison) # Tes mains ces lys. (Métaphore) # Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie) # Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque) # Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification) # Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore) # Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole) # Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison) # Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme) # N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore) # La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification) # Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison) # Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore) # Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation) # Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie) # Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse) # Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma) # La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme) # Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation) # Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie) # [=[…] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore) # =]
13/01/2009 à 11:16 par Stéphane -
Lignes 1-3 ajoutées:
J’étais froid comme le marbre (comparaison) # Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) # Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) # L’automne souriait… (personnification) # France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) # Je voudrais un camembert et un chèvre (métonymie) # Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) # Le Roi Soleil (périphrase) # L’antichambre n’était à la vérité incrustée que de rubis et d’émeraude ; mais l’ordre dans lequel tout était arrangé réparait bien cette extrême simplicité. (Antiphrase) # Le Moyen-Age, énorme et délicat. (antithèse) # L’air n’avait que des caresses glaciales. (oxymore) # Il l’admire à tous coups, le cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… (hyperbole) # L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. (gradation) # Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. (euphémisme) # Ce n’était pas un sot, non et croyez-m’en/Que le chien de Jean de Nivelle… (litote) # Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. (chiasme) # La mère de l’amour eut la mer pour berceau. (paronomase) # Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. (chiasme) # Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. (périphrase) # Les arbres sur ma route fuyaient. (personnification) # Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? (antithèse) # Etait-ce au contraire, un bébé géant comme sa silhouette le suggérait ? (oxymore) # Ton bras est invaincu mais non pas invincible. (antithèse) # Vous clouez de vos mains mal sûres/Les hiboux au seuil des masures/Et Christ sur la porte des cieux. (Zeugma) # Boue si méprisée, je t’aime. Je t’aime à raison du mépris où l’on te tient. (Chiasme) # La neige incertaine/Luit comme du sable. (comparaison) # Tes mains ces lys. (Métaphore) # Et on va la boire la canette sans mousse ! (métonymie) # Pour un cœur qui s’ennuie/ô le chant de la pluie. (synecdoque) # Sois sage, ô ma douleur, et tiens toi tranquille. (personnification) # Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. (métaphore) # Qui connaît son sourire a connu le parfait. (hyperbole) # Le poète est semblable au prince des nuées. (comparaison) # Immoler Troie aux Grecs, au fils d’Hector la Grèce. (Chiasme) # N’en attendez jamais qu’une paix sanguinaire. (oxymore) # La haine est un ivrogne au fond d’une taverne,/Qui sent toujours la soif naître de la liqueur.(personnification) # Mon cœur, tout joyeux, voltigeait comme un oiseau. (comparaison) # Marche à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (anaphore) # Adieu, veau, vache, cochon, couvée… (accumulation) # Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ/Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant/Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (allégorie) # Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse) # Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma) # La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme) # Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation) # Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie) # [=[…] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore) # =]

Femme boniche, femme potiche. (paronomase) # Il se balance dans un rocking-chair à bascule. (pléonasme) # Les hommes d’esprit se hâtent lentement. (oxymore) # Quand la mort met un comble aux maux que j’ai souffert/Le beau soulagement d’être mangé des vers ! (antiphrase) #

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Webmestre : Stéphane FONTAINE - Lycée Germaine Tillion - Montbéliard