Historique de Seconde5.Equipe7Synthese3

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25/04/2012 à 21:10 par debora -
Lignes 290-294 modifiées:
!! Questionnements, Réflexions
en:
!! Questionnements, Réflexions

'''-Comment la passion de Phèdre la transforme t-elle en victime ?'''

'''- En quoi l'impuissance de Phèdre face à l'intensité de ses sentiments est-elle une fatalité ?'''
20/04/2012 à 20:27 par debora -
Lignes 114-115 modifiées:
'''
Oxymore''' : Association de deux mots syntaxiquement liés donc les sens sont contradictoires. L'association produit un effet de surprise et de mise en valeur.
en:
'''Oxymore''' : Association de deux mots syntaxiquement liés donc les sens sont contradictoires. L'association produit un effet de surprise et de mise en valeur.
20/04/2012 à 20:26 par debora -
Lignes 113-137 modifiées:
Jansénisme : Doctrine de Jansénius et de ses disciples ; mouvement religieux et intellectuel animé par ses partisans.

Oxymore : Association de deux mots syntaxiquement liés donc les sens sont contradictoires. L'association produit un effet de surprise et de mise en valeur.

Hémistiche : Chacune des deux parties d’un vers coupé par la césure.

L'élision: Suppression d'une voyelle à la fin d'un mot devant une autre voyelle ou un "h" muet.

Diérèse : quand il y a deux voyelles dans une même syllabe, on les prononce séparément, pour former deux syllabes.

Rejet, contre-rejet : le rejet est un des effets expressifs liés à l'enjambement; il consiste à rejeter dans le vers suivant un élément court syntaxiquement dépendant de la proposition du vers précédent; le contre-rejet est le phénomène inverse : la partie la plus courte de la proposition scindée par l'enjambement se trouve placée en premier.

Enjambement : On parle d'enjambement quand une phrase est répartie entre la fin d'un vers et le début du vers suivant, sans qu'il soit possible de ménager un arrêt entre les deux vers

Les trois unités : L'unité d'action ; précise que l'intérêt doit être centré sur une seule intrigue, dépouillée de tout épisode secondaire. L'unité de lieu ; l'action doit se dérouler dans un lieu unique.· L'unité de temps ; l'action doit se dérouler en un jour, en 24 heures, certains ajoutent du lever au coucher du soleil.

Les bienséances : C'est un ensemble de règles implicites qui avaient pour but de ne choquer le public ni sur
le plan moral ni sur le plan esthétique.

La vraisemblance : La tragédie doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité et doit bannir de l'intrigue des éléments fantastiques ou impossibles.

Le classicisme : Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en France, et plus largement
en Europe, à la frontière entre le xviie siècle e t le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection.

La préciosité : La
préciosité est un mouvement culturel et un courant littéraire français du XVIIe siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé.
en:
'''Jansénisme''' : Doctrine de Jansénius et de ses disciples ; mouvement religieux et intellectuel animé par ses partisans.
'''
Oxymore''' : Association de deux mots syntaxiquement liés donc les sens sont contradictoires. L'association produit un effet de surprise et de mise en valeur.

'''Hémistiche''' : Chacune des deux parties d’un vers coupé par la césure.

'''L'élision''': Suppression d'une voyelle à la fin d'un mot devant une autre voyelle ou un "h" muet.

'''Diérèse''' : quand il y a deux voyelles dans une même syllabe, on les prononce séparément, pour former deux syllabes.

'''Rejet, contre-rejet''' : le rejet est un des effets expressifs liés à l'enjambement; il consiste à rejeter dans le vers suivant un élément court syntaxiquement dépendant de la proposition du vers précédent; le contre-rejet est le phénomène inverse : la partie la plus courte de la proposition scindée par l'enjambement se trouve placée en premier.

'''Enjambement''' : On parle d'enjambement quand une phrase est répartie entre la fin d'un vers et le début du vers suivant, sans qu'il soit possible de ménager un arrêt entre les deux vers

'''Les trois unités''' : L'unité d'action ; précise que l'intérêt doit être centré sur une seule intrigue, dépouillée de tout épisode secondaire. L'unité de lieu ; l'action doit se dérouler dans un lieu unique.· L'unité de temps ; l'action doit se dérouler en un jour, en 24 heures, certains ajoutent du lever au coucher du soleil.

'''Les bienséances''' : C'est un ensemble de règles implicites qui avaient pour but de ne choquer
le public ni sur le plan moral ni sur le plan esthétique.

'''La vraisemblance''' : La tragédie doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité et doit bannir de l'intrigue des éléments fantastiques ou impossibles.

'''Le classicisme''' : Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe
en France, et plus largement en Europe, à la frontière entre le xviie siècle e t le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection.

'''La
préciosité''' : La préciosité est un mouvement culturel et un courant littéraire français du XVIIe siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé.

'''Un (ou une) dramaturge''' : c'est un auteur de pièces de théâtre, la dramaturgie étant l’étude ou l’art de la composition théâtrale. Cette dernière se pratique aussi au cinéma, les règles d'écriture d'un scénario s'apparentant à celle du théâtre.

'''La catharsis ou katharsis''' (en grec κάθαρσις) signifie purification : La catharsis est l'épuration des passions par le moyen de la représentation dramaturgique

'''Le baroque''' : Le baroque est un mouvement littéraire et artistique qui date du XVIème et du XVIIème siècle. Il trouve son origine en Italie dans des villes telles que Rome, Mantoue, Venise et Florence.Cette époque suit la Renaissance.

'''Syntagme''' : En grammaire moderne, on appelle syntagme (ou groupe), l'unité syntaxique plus ou moins complexe située entre la limite supérieure de la syntaxe, constituée par la phrase, et la limite inférieure, constituée par la catégorie simple

'''Tragi-comédie''' : La tragi-comédie est un style de jeu dramatique ou d'écriture théâtrale alternant ou mêlant divers genres théâtraux. Comique, tragique, farce, mélodrame ou autres peuvent s'y côtoyer.
Lignes 113-135 ajoutées:
Jansénisme : Doctrine de Jansénius et de ses disciples ; mouvement religieux et intellectuel animé par ses partisans.

Oxymore : Association de deux mots syntaxiquement liés donc les sens sont contradictoires. L'association produit un effet de surprise et de mise en valeur.

Hémistiche : Chacune des deux parties d’un vers coupé par la césure.

L'élision: Suppression d'une voyelle à la fin d'un mot devant une autre voyelle ou un "h" muet.

Diérèse : quand il y a deux voyelles dans une même syllabe, on les prononce séparément, pour former deux syllabes.

Rejet, contre-rejet : le rejet est un des effets expressifs liés à l'enjambement; il consiste à rejeter dans le vers suivant un élément court syntaxiquement dépendant de la proposition du vers précédent; le contre-rejet est le phénomène inverse : la partie la plus courte de la proposition scindée par l'enjambement se trouve placée en premier.

Enjambement : On parle d'enjambement quand une phrase est répartie entre la fin d'un vers et le début du vers suivant, sans qu'il soit possible de ménager un arrêt entre les deux vers

Les trois unités : L'unité d'action ; précise que l'intérêt doit être centré sur une seule intrigue, dépouillée de tout épisode secondaire. L'unité de lieu ; l'action doit se dérouler dans un lieu unique.· L'unité de temps ; l'action doit se dérouler en un jour, en 24 heures, certains ajoutent du lever au coucher du soleil.

Les bienséances : C'est un ensemble de règles implicites qui avaient pour but de ne choquer le public ni sur le plan moral ni sur le plan esthétique.

La vraisemblance : La tragédie doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité et doit bannir de l'intrigue des éléments fantastiques ou impossibles.

Le classicisme : Le classicisme est un mouvement littéraire qui se développe en France, et plus largement en Europe, à la frontière entre le xviie siècle e t le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection.

La préciosité : La préciosité est un mouvement culturel et un courant littéraire français du XVIIe siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé.
Lignes 117-118 modifiées:
(:includeurl http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/41/Alexandre_Cabanel_-_Ph%C3%A8dre.jpg/300px-Alexandre_Cabanel_-_Ph%C3%A8dre.jpg.ext:)
en:
Lignes 194-197 modifiées:
%left%La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance.
Dans cet extrait, Phèdre laisse éclater sa jalousie, sentiment qui surpasse toutes les douleurs de la passion cachée comme le souligne le lexique de la colère présent tout au long du texte à travers des termes tels que « courroux », « jalouse rage », « fureur ». La jeune femme est fortement troublée d’apprendre qu’Hippolyte aime Aricie. C’est un sentiment neuf, nouveau, qui s’exprime dans un cri pathétique au vers 1225 : « Ah ! douleur non encore éprouvée ! »
. Les deux exclamations qui s’enchaînent donnent ainsi l’impression que Phèdre vit un véritable cauchemar. D’où l’énumération pressante de questions qui mettent en valeur le besoin de comprendre cette tromperie, d’en connaître les circonstances : « Comment se sont-ils vus ? depuis quand ? dans quels lieux ? ». Par le recours à l’enquête, Phèdre veut savoir les détails de ce qui lui avait jusque là échappé, jusqu’à vivre fantasmatiquement avec le couple Hippolyte-Aricie, signe que petit à petit, Phèdre sombre dans la folie.
Cette jalousie va peu à peu laisser place à la haine et au désir de
vengeance.
en:
La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance.
Dans cet extrait, Phèdre laisse éclater sa jalousie, sentiment qui surpasse toutes les douleurs de la passion cachée comme le souligne le lexique de la colère présent tout au long du texte à travers des termes tels que « courroux », « jalouse rage », « fureur ». La jeune femme est fortement troublée d’apprendre qu’Hippolyte aime Aricie. C’est un sentiment neuf, nouveau, qui s’exprime dans un cri pathétique au vers 1225 : « Ah ! douleur non encore éprouvée ! ». Les deux exclamations qui s’enchaînent donnent ainsi l’impression que Phèdre vit un véritable cauchemar
. D’où l’énumération pressante de questions qui mettent en valeur le besoin de comprendre cette tromperie, d’en connaître les circonstances : « Comment se sont-ils vus ? depuis quand ? dans quels lieux ? ». Par le recours à l’enquête, Phèdre veut savoir les détails de ce qui lui avait jusque là échappé, jusqu’à vivre fantasmatiquement avec le couple Hippolyte-Aricie, signe que petit à petit, Phèdre sombre dans la folie.
Cette jalousie va peu à peu laisser place à la haine et au désir de
vengeance.
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La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance.
en:
%left%La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance.
Lignes 117-197 ajoutées:
(:includeurl http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/41/Alexandre_Cabanel_-_Ph%C3%A8dre.jpg/300px-Alexandre_Cabanel_-_Ph%C3%A8dre.jpg.ext:)

Phedre de racine est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine créée et représentée pour la première fois le 1er janvier 1677 à l’Hôtel de Bourgogne sous le titre Phèdre et Hippolyte. C'est aussi sous ce titre qu'elle fut publiée pour la première fois la même année. Racine n'adopta le titre de Phèdre qu'à partir de l'édition de 1687 de ses Œuvres. La pièce comporte 1 654 alexandrins. L’Œuvre a deux intérêts principaux qui sont de plaire et d’instruire comme toutes les tragédies du style classicisme. En effet , cette œuvre plait au lecteur à travers car toutes les règles du théâtre classique ont été respectées : la construction tragique, la profondeur des personnages, la richesse de la versification. Le personnage de Phèdre est l’un des plus remarquables des tragédies de Racine. Elle est à la fois coupable du malheur des autres et victime de ses pulsions. Phèdre est devenue peu à peu l’une des pièces les plus célèbres de Racine. C’est l’une des tragédies du XVIIe siècle les plus souvent représentées sur la scène. Et elle instruit , elle montre que la passion est destructrice car c’est ce qui rend folle Phèdre et la pousse à se suicider.

Phedre acte 1 scène 3 ; Phèdre
Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée
Sous les lois de l’hymen2 je m’étais engagée,
Mon repos, mon bonheur semblait être affermi,
Athènes me montra mon superbe ennemi.
Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;
Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ;
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;
Je sentis tout mon corps, et transir3 et brûler.
Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,
D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables.
Par des vœux assidus je crus les détourner :
Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner ;
De victimes moi-même à toute heure entourée,
Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée.
D’un incurable amour remèdes impuissants !
En vain sur les autels ma main brûlait l’encens :
Quand ma bouche implorait le nom de la déesse,
J’adorais Hippolyte, et le voyant sans cesse,
Même au pied des autels que je faisais fumer.
J’offrais tout à ce dieu, que je n’osais nommer.
Je l’évitais partout. Ô comble de misère !
Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père.
Contre moi-même enfin j’osai me révolter :
J’excitai mon courage à le persécuter.
Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre,
J’affectai les chagrins d’une injuste marâtre ;
Je pressai son exil, et mes cris éternels
L’arrachèrent du sein, et des bras paternels.
Je respirais, Œnone. Et depuis son absence,
Mes jours moins agités coulaient dans l’innocence ;
Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis,
De son fatal hymen je cultivais les fruits.
Vaines précautions ! Cruelle destinée !
Par mon époux lui-même à Trézène amenée,
J’ai revu l’Ennemi que j’avais éloigné :
Ma blessure trop vive aussitôt a saigné.
Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée :
C’est Vénus toute entière à sa proie attachée.

L’amour de Phèdre est un amour coupable. Elle nomme des responsables : « à peine au fils d’Égée […] je m’étais engagée », « Athènes me montra mon superbe ennemi » (superbe signifie orgueilleux), « je reconnus Vénus et ses feux redoutables », « contre moi-même enfin j’osai me révolter ». Phèdre s’avoue impuissante face à cet amour qui l’aliène : son amour est « incurable ».
Il y a des manifestations physiques à cette passion : « je le vis, je rougis, je pâlis ». Il faut noter les champs lexicaux du corps et des éléments du corps (métonymies) qui soulignent l’aliénation corporelle de Phèdre par cet amour qui l’habite.
Sa langue semble aussi aliénée par cette passion : l’anaphore « j’aime… » et les hyperboles « par des vœux assidus […] je lui bâtis un temple […] à toute heure entourée » témoignent d’une fatalité à laquelle Phèdre ne peut échapper.
L’évocation de la succession d’actions réalisées par Phèdre pour contrer cet amour est remarquable et renforce l’impression de fatalité : « je lui bâtis », « pris soin de l’orner », elle s’est entourée de victimes « à toute heure », elle a brûlé de l’encens, etc.
L’emploi récurrent des imparfaits de l’indicatif (à valeur durative) accentue l’impression d’actions répétées : malgré cela, c’est « en vain » que Phèdre a tenté de trouver un remèdre à cet amour. De même pour l’emploi des passés simples « vis », « rougis », « pâlis », « j’affectai », « pressai » qui donnent de la vigueur à cette tirade qui ressemble plus à un monologue. Survient, à la fin de notre extrait, le présent de l’indicatif qui identifie définitivement le coupable : « c’est Vénus toute entière ».

Acte 4 scène 6 ;
Ah ! douleur non encore éprouvée !
A quel nouveau tourment je me suis réservée !
Tout ce que j'ai souffert, mes craintes, mes transports,
La fureur de mes feux, l'horreur de mes remords,
Et d'un cruel refus l'insupportable injure,
N'était qu'un faible essai du tourment que j'endure.
Ils s'aiment ! Par quel charme ont-ils trompé mes yeux ?
Comment se sont-ils vus ? depuis quand ? dans quels lieux ?
Tu le savais. Pourquoi me laissais-tu séduire ?
De leur furtive ardeur ne pouvais-tu m'instruire ?
Les a-t-on vus souvent se parler, se chercher ?
Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ?
Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence
Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ;
Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ;
Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Et moi, triste rebut de la nature entière,
Je me cachais au jour, je fuyais la lumière.
La mort est le seul dieu que j'osais implorer.
J'attendais le moment où j'allais expirer ;
Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée,
Encor dans mon malheur de trop près observée,
Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir.
Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir,
Et sous un front serein déguisant mes alarmes,
Il fallait bien souvent me priver de mes larmes.

La fureur de Phèdre s’exprime de façon brutale et progresse vers un désir pressant de vengeance.
Dans cet extrait, Phèdre laisse éclater sa jalousie, sentiment qui surpasse toutes les douleurs de la passion cachée comme le souligne le lexique de la colère présent tout au long du texte à travers des termes tels que « courroux », « jalouse rage », « fureur ». La jeune femme est fortement troublée d’apprendre qu’Hippolyte aime Aricie. C’est un sentiment neuf, nouveau, qui s’exprime dans un cri pathétique au vers 1225 : « Ah ! douleur non encore éprouvée ! ». Les deux exclamations qui s’enchaînent donnent ainsi l’impression que Phèdre vit un véritable cauchemar. D’où l’énumération pressante de questions qui mettent en valeur le besoin de comprendre cette tromperie, d’en connaître les circonstances : « Comment se sont-ils vus ? depuis quand ? dans quels lieux ? ». Par le recours à l’enquête, Phèdre veut savoir les détails de ce qui lui avait jusque là échappé, jusqu’à vivre fantasmatiquement avec le couple Hippolyte-Aricie, signe que petit à petit, Phèdre sombre dans la folie.
Cette jalousie va peu à peu laisser place à la haine et au désir de vengeance.
16/04/2012 à 14:52 par debora -
Lignes 120-121 ajoutées:
Ligne 169 modifiée:
'''%center%Il y a également y 3 grand roi:'''
en:
'''%center%Il y a également 3 grand roi:'''
16/04/2012 à 14:50 par debora -
Lignes 146-147 modifiées:
%blue%17éme siècle%%%: On développe la langue des écrit: Le français et les règles de littératures.
%green%Nicolas Boileau%% aide à inscrire ces règles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau)
en:
'''%blue%17éme siècle%%:''' On développe la langue des écrit: Le français et les règles de littératures.

'''%green%Nicolas Boileau%%''' aide à inscrire ces règles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau)
Lignes 154-162 modifiées:
-La naissance de la science moderne:
1966: Naissance de l académie des sciences ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_des_sciences_%28France%29)
%green%Pascal%% et la machine à calculer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascaline#Pascal_est_bien_l.27inventeur_de_la_machine_.C3.A0_calculer)
%green%Gassendi%%: La terre tourne autour du soleil (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gassendi)
%green%Descartes%%: Sciences des livres comme le commentaire composer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Descartes)
Newton: Gravitation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Newton)
Il y a également y 3 grand roi: %red%Louis IV%%:Il a instaurer la paix entre les Catholique et Protestant ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_IV_de_France)
%red%Louis XIII%%: Il a fait de nombreuse guerre comme la guerre de 30 ans (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIII)
%red%Louis XIV le monarque absolu%%: Il fera construire le chateau de Versaille, les routes et créra de nouveaux impos. Il révoquera l'edit de nante (pas de cultes pour les protestants) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIV_de_France)
en:
%red%'''-La naissance de la science moderne:'''%%

%red%1966%%: Naissance de l académie des sciences ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_des_sciences_%28France%29)

''' %green%Pascal%%''' et la machine à calculer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascaline#Pascal_est_bien_l.27inventeur_de_la_machine_.C3.A0_calculer)

'''%green%Gassendi%%''': La terre tourne autour du soleil (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gassendi)

'''%green%Descartes%%''': Sciences des livres comme le commentaire composer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Descartes)

'''%green%Newton%%''': Gravitation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Newton)

'''%center%
Il y a également y 3 grand roi:'''

'''
%red%Louis IV%%''':Il a instaurer la paix entre les Catholique et Protestant ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_IV_de_France)

'''%red%Louis XIII%%''': Il a fait de nombreuse guerre comme la guerre de 30 ans (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIII)

'''%red%Louis XIV le monarque absolu%%''': Il fera construire le chateau de Versaille, les routes et créra de nouveaux impos. Il révoquera

l'edit de nante (pas de cultes pour les protestants) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIV_de_France)
16/04/2012 à 14:43 par debora -
Lignes 96-97 ajoutées:

%center%Attach:Dialoguetheatre.png
16/04/2012 à 14:40 par debora -
Lignes 94-95 ajoutées:

'''%red%2- Les formes du dialogue théâtral.%%'''
16/04/2012 à 14:23 par debora -
Lignes 62-64 modifiées:
%center%''''+IIII- Le style de la tragédie classique+'''' .
en:
%center%''''+IV- Le style de la tragédie classique+'''' .
Lignes 79-93 modifiées:
en:
'''%center%'+V- Un texte écrit pour la scène.+''''

%red%'''1- Le dialogue théâtrale : une énonciation complexe.'''%%

L'auteur de théâtre s'adresse au public par l'intermédiaire des discours échangés par les acteurs.Mais le texte donne aussi des indications à ceux qui sont chargés de la mise en scène : acteurs , décorateurs , costumiers, metteur en scène.

%red%'''2- Les didascalies et la mise en scène''' .%%

écrit pour être mis en scène , le texte de théâtre comporte d'abord le texte que prononce les acteurs .En marge du texte , des didascalies, d'un mot grec qui signifie " enseigner , renseigner " , décrivent les décors, les costumes , les accesoires , les mouvements scèniques , parfois même les intonations.Plus ou moins nombreuses et précises selon les époques et les auteurs , elles orientent la mise en scène et la lecture.

%center%''''+VI- Les circuits et de la paroles.+''''

'''%red%1- La distribution de la parole%%'''

Au théâtre , la distribution de la parole est un enjeu essentiel : qui prend la parole, qui la garde , qui la coupe , qui la perd ? la parole est toujours action : elle informe , elle cherche à modifier une situation , à imposer , à séduire un interlocuteur .
15/04/2012 à 19:17 par oriane -
Lignes 139-142 modifiées:
Newton: Gravitation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Newton)
en:
Newton: Gravitation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Newton)
Il y a également y 3 grand roi: %red%Louis IV%%:Il a instaurer la paix entre les Catholique et Protestant ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_IV_de_France)
%red%Louis XIII%%: Il a fait de nombreuse guerre comme la guerre de 30 ans (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIII)
%red%Louis XIV le monarque absolu%%: Il fera construire le chateau de Versaille, les routes et créra de nouveaux impos. Il révoquera l'edit de nante (pas de cultes pour les protestants) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XIV_de_France)
04/04/2012 à 20:47 par oriane -
Ligne 129 modifiée:
%green%Nicol%green%Texte en vert%%as Boileau%% aide à inscrire ces règles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau)
en:
%green%Nicolas Boileau%% aide à inscrire ces règles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau)
04/04/2012 à 20:45 par oriane -
Lignes 126-139 ajoutées:


%blue%17éme siècle%%%: On développe la langue des écrit: Le français et les règles de littératures.
%green%Nicol%green%Texte en vert%%as Boileau%% aide à inscrire ces règles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau)
-On constate la difficulté des naissances des écrivains car au départ écrivains n'est pas rémunérer c est un loisir et non un travail mais il y a des exceptions: %green%Molière%% qui deviens l'écrivain du roi donc pensions royal. Mais cela entraine un autre problème la censure. En effet cela s'appelle la censure royal ( hommes d'église qui assure la moral de la société)
-La renaissance des librairie:
Ainsi avant nous avions que des ouvrages religieux en latin que seul les plus riche pouvais s'offrir.
Ce n'est plus le cas désormais tout le monde à aces au savoir de la société (hommes libre)
-La naissance de la science moderne:
1966: Naissance de l académie des sciences ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_des_sciences_%28France%29)
%green%Pascal%% et la machine à calculer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascaline#Pascal_est_bien_l.27inventeur_de_la_machine_.C3.A0_calculer)
%green%Gassendi%%: La terre tourne autour du soleil (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gassendi)
%green%Descartes%%: Sciences des livres comme le commentaire composer ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Descartes)
Newton: Gravitation (http://fr.wikipedia.org/wiki/Newton)
27/03/2012 à 21:21 par debora -
Lignes 31-33 modifiées:
Au cours de XVIIIe et XIXe siècles , les acteurs évoluent vers une plus grande spontanéité* dans l'expression des sentiments.
en:
Au cours de XVIIIe et XIXe siècles , les acteurs évoluent vers une plus grande '''spontanéité*''' dans l'expression des sentiments.
Lignes 45-46 modifiées:
'''%green%L'unité d'action%%''' : La concentration sur l'action principale , et le refus de toute action secondaire,assure la cohérence de l'œuvre qui , à partir d'une exposition rapide , conduit , par une séries de péripéties , à un dénouement* complet .
en:
'''%green%L'unité d'action%%''' : La concentration sur l'action principale , et le refus de toute action secondaire,assure la cohérence de l'œuvre qui , à partir d'une exposition rapide , conduit , par une séries de péripéties , à un '''dénouement*''' complet .
Ligne 72 modifiée:
Le lexique de la tragédie exclut les termes bas et familiers . Des synecdoques* , « vos yeux » « mon bras » , animent les personnages sans les rendre familiers.
en:
Le lexique de la tragédie exclut les termes bas et familiers . Des '''synecdoques*''' , « vos yeux » « mon bras » , animent les personnages sans les rendre familiers.
27/03/2012 à 21:17 par debora -
Ligne 13 ajoutée:
Lignes 15-16 modifiées:
1- Les lieux du Spectacle.
en:

%red%'''1- Les lieux du
Spectacle.'''%%
Lignes 23-24 modifiées:
2- Les décors .
en:
%red%'''2- Les décors .'''%%
Lignes 27-28 modifiées:
3- Les Acteurs.
en:
%red%'''3- Les Acteurs.'''%%
Lignes 36-37 modifiées:
Attach:tableau theatre d.png
en:

%center%
Attach:tableau56.png
Lignes 42-52 modifiées:
1- Les trois unités.


L
'unité d'action : La concentration sur l'action principale , et le refus de toute action secondaire,assure la cohérence de l'œuvre qui , à partir d'une exposition rapide , conduit , par une séries de péripéties , à un dénouement* complet .

L'unité de lieu : concentrée en un seul lieu , l
'action paraît plus crédible : pendant tout le spectacle , la scène est identifiée au lieu de l'action.

L'unité de temps : pour que la durée du spectacle se rapproche de la durée de
l'action représentée , l'action ne peut pas durer plus d'une journée .

2 – La
vraisemblance
en:

'''%red%
1- Les trois unités.%%'''

'''%green%L'unité d'action%%''' : La concentration sur l'action principale , et le refus de toute action secondaire,assure la cohérence de l'œuvre qui , à partir d'une exposition rapide , conduit , par une séries de péripéties , à un dénouement* complet .

'''%green%L'unité de lieu%%''' : concentrée en un seul lieu , l'action paraît plus crédible : pendant tout le spectacle , la scène est identifiée au lieu de l'action.

'''%green%L'unité de temps%%''' : pour que la durée du spectacle se rapproche de la durée de l'action représentée , l'action ne peut pas durer plus d'une journée .


%red%'''2 – La
vraisemblance'''%%
Lignes 56-58 modifiées:
3 – Les Bienséances
en:

%red%'''
3 – Les Bienséances'''%%
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Lignes 64-65 modifiées:
1- l'énonciation
en:

'''%red%1- l'énonciation%%'''
Lignes 69-70 modifiées:
2- Le lexique
en:

%red%'''
2- Le lexique'''%%
Lignes 74-75 modifiées:
3- la syntaxe
en:

%red%'''
3- la syntaxe'''%%
Lignes 80-86 modifiées:
Définition :

spontanéité : Capacité d'agir soi-même, sans être incité ni contraint par autrui.

Dénouement : Le point où aboutit et se résout l'intrigue d'un roman, d'une pièce de théâtre

synecdoques : Figure de style qui consiste à prendre la partie de quelque chose pour le tout, le contenant pour le tout, le genre pour l'espèce...
en:


%red%'''
Définition :'''%%

'''spontanéité''' : Capacité d'agir soi-même, sans être incité ni contraint par autrui.

'''Dénouement''' : Le point où aboutit et se résout l'intrigue d'un roman, d'une pièce de théâtre

'''synecdoques''' : Figure de style qui consiste à prendre la partie de quelque chose pour le tout, le contenant pour le tout, le genre pour l'espèce...
27/03/2012 à 21:08 par debora -
Lignes 12-75 ajoutées:

%center%''''+I – Les conditions de la représentation théâtrale .+''''
1- Les lieux du Spectacle.

Au XVIIe Siècle , la représentation pouvait se donner dans des lieux divers , tréteaux des bateleurs , salles de bal ou de sport , jardins illuminés . Puis des bâtiments de plus en plus perfectionnés lui sont réservés .

Au XVIIIe siècle , le théâtre à l'italienne triomphe car il facilite l'illusion : les spectateurs ont l'impression de découvrir une pièce dont on aurait enlevé le quatrième mur .

2- Les décors .

D'abord limités a une toile de fond et quelques accessoires , les décors reproduisent de plus en plus précisément de lieu de l'action . Au XIXe siècle , la recherche de la couleur locale conduit à des reconstitutions méticuleuses.

3- Les Acteurs.

Au XVIIe siècle, les acteurs deviennent de véritables professionnels . La tragédie exige une déclamation solennelle , alors que la comédie , tout en admettant les outrances de la farce , recherche l'imitation la plus naturelle .

Au cours de XVIIIe et XIXe siècles , les acteurs évoluent vers une plus grande spontanéité* dans l'expression des sentiments.


%center%''''+II – Les genres théâtraux du XVIIe au XIXe siècle+'''' .

Attach:tableau theatre d.png

'+%center%'''III – Les règles de la tragédie classique'''+'

1- Les trois unités.


L'unité d'action : La concentration sur l'action principale , et le refus de toute action secondaire,assure la cohérence de l'œuvre qui , à partir d'une exposition rapide , conduit , par une séries de péripéties , à un dénouement* complet .

L'unité de lieu : concentrée en un seul lieu , l'action paraît plus crédible : pendant tout le spectacle , la scène est identifiée au lieu de l'action.

L'unité de temps : pour que la durée du spectacle se rapproche de la durée de l'action représentée , l'action ne peut pas durer plus d'une journée .

2 – La vraisemblance

la vraisemblance est nécessaire car « l'esprit n'est point ému de ce qu'il dit ne croit pas » (boileau) . Les actions possibles sont crédibles et exemplaires

3 – Les Bienséances
Elles interdisent tout ce qui pourrait agresser le public comme l'excès de violence ou de grossièretés : les héros tuent et meurent en coulisses .

%center%''''+IIII- Le style de la tragédie classique+'''' .

1- l'énonciation

Le nom et le rang des personnages , le vouvoiement , le «  je » et le « vous » remplacés par la troisième personne créent un effet d'éloignement qui grandit les personnages

2- Le lexique

Le lexique de la tragédie exclut les termes bas et familiers . Des synecdoques* , « vos yeux » « mon bras » , animent les personnages sans les rendre familiers.

3- la syntaxe

Les modalités interrogative , exclamative , la modalité impérative dans les imprécations, font retentir l'émotion des personnages .


Définition :

spontanéité : Capacité d'agir soi-même, sans être incité ni contraint par autrui.

Dénouement : Le point où aboutit et se résout l'intrigue d'un roman, d'une pièce de théâtre

synecdoques : Figure de style qui consiste à prendre la partie de quelque chose pour le tout, le contenant pour le tout, le genre pour l'espèce...
Lignes 35-36 modifiées:
°-'''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.'''
en:
'''''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.'''''
Lignes 35-36 modifiées:
°- '''''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.'''''
en:
°-'''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.'''
Lignes 24-25 modifiées:
°- ''Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.''
en:
°- '''''Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.'''''
Lignes 29-31 modifiées:
_la tragédie latine à travers Sénèque %blue%(4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.)%% et ses
oeuvres - dont Médée, Phèdre - construites sur le modèle grec mais
centrées sur le discours, la rhétorique.
en:
_la tragédie latine à travers Sénèque '''%blue%(4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.)%%''' et ses oeuvres - dont Médée, Phèdre - construites sur le modèle grec mais centrées sur le discours, la rhétorique.
Lignes 35-37 modifiées:
°- ''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.''
en:
°- '''''l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.'''''
Ligne 40 modifiée:
La tragédie humaniste %blue%(seconde moitié du XVIe)%%, qui doit beaucoup à l’oeuvre de Sénèque, émerge avec:
en:
La tragédie humaniste '''%blue%(seconde moitié du XVIe)%%''', qui doit beaucoup à l’oeuvre de Sénèque, émerge avec:
Lignes 45-46 ajoutées:

La tragédie irrégulière se substitue à lui. Celle-ci fait fi des règles,privilégie l’action, introduit des scènes violentes, emprunte de plus en plus ses thèmes à l’actualité ou au roman. À la fin du XVIe siècle, la tragi-comédie à fin heureuse l’imite dans cette voie.
Ligne 29 modifiée:
_la tragédie latine à travers Sénèque (4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.) et ses
en:
_la tragédie latine à travers Sénèque %blue%(4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.)%% et ses
Lignes 40-42 modifiées:
La tragédie humaniste (seconde moitié du XVIe), qui doit beaucoup à l’oeuvre de Sénèque, émerge avec:
en:
Comme l’écrit Georges Forestier, « le sujet de la tragédie demeurera immuable sous la variété des histoires – les coups de fortune que leur imprudence ou leurs passions déréglées attirent sur les grands de ce monde – et la manière de le traiter restera la même : tout s’étant joué avant le début, la pièce montre le malheur en marche à travers les débats rhétoriques (et la stichomythie5), les réflexions philosophiques et morales, les plaintes lyriques, les récits élégiaques ou pompeux et les chants du choeur, aboutissant au retournement (péripétie) qui assure le dénouement funeste. »
\\
La tragédie humaniste %blue%(seconde moitié du XVIe)%%
, qui doit beaucoup à l’oeuvre de Sénèque, émerge avec:
Lignes 24-25 modifiées:
Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.
en:
°- ''Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.''
Lignes 33-39 modifiées:
_Des textes de l’Antiquité (le théâtre de Sénèque, l’Art poétique
d’Horace…) sont redécouverts, traduits et édités dès le début du XVIe
siècle.

l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.
en:
_Des textes de l’Antiquité (le théâtre de Sénèque, l’Art poétique d’Horace…) sont redécouverts,
traduits et édités dès le début du XVIe siècle.


°- ''l’héritage
du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.''
Lignes 41-44 modifiées:
_Abraham sacrifiant de Théodore de Bèze (1550)
_Robert Garnier (1544-1590)
_Montchrestien (v. 1575-1621)
en:
\\
_'''Abraham sacrifiant de Théodore de Bèze %blue%(1550)%%'''
_'''Robert Garnier %blue%(1544-1590)%%'''
_'''Montchrestien %blue%(v. 1575-1621)%%'''
Lignes 24-44 ajoutées:
Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.

Le genre ne s’est manifesté qu’à quelques périodes de l’histoire. Son apparition, sa disparition, ses réapparitions ont toujours été liées à un contexte politique et social : « La possibilité même du tragique est liée à l’ordre social. Elle présuppose la toute puissance d’une transcendance et la solidification des valeurs auxquelles le héros accepte de se soumettre.
L’ordre est toujours rétabli en fin de parcours, qu’il soit d’essence divine, métaphysique ou humaine.
\\
_la tragédie latine à travers Sénèque (4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.) et ses
oeuvres - dont Médée, Phèdre - construites sur le modèle grec mais
centrées sur le discours, la rhétorique.
\\
_Des textes de l’Antiquité (le théâtre de Sénèque, l’Art poétique
d’Horace…) sont redécouverts, traduits et édités dès le début du XVIe
siècle.

l’héritage du théâtre sérieux du Moyen-Âge et l’influence de la tragédie italienne expliquent la renaissance du genre
tragique en France.

La tragédie humaniste (seconde moitié du XVIe), qui doit beaucoup à l’oeuvre de Sénèque, émerge avec:

_Abraham sacrifiant de Théodore de Bèze (1550)
_Robert Garnier (1544-1590)
_Montchrestien (v. 1575-1621)
Lignes 1-27 ajoutées:
! Equipe 7 Synthèse de la séquence 3 : La tragédie classique ou les règles en théâtre
(:toc:)

'''%center%Evaluation'''
||border=1 width=80% align=center
||! Cours ||! Glossaire ||! Exemples ||! Temps ||! Culture ||! Expression ||! TOTAL ||
|| 5 points || 3 points || 4 points || 2 points || 3 points || 3 points || Barême ||
|| || || || || || || '''??/20''' ||


!! Eléments de cours (notions littéraires importantes, artistes, œuvres étudiées, etc.)



!! Glossaire (définitions, liste de vocabulaire, etc.)



!! Exemples (illustrations, références artistiques, etc.)



!! Références culturelles (courants de pensée, points historiques, etc.)



!! Questionnements, Réflexions

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Webmestre : Stéphane FONTAINE - Lycée Germaine Tillion - Montbéliard